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Que-du-frisson2

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6 articles taggés catastrophe

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The Impossible

The Impossible The Impossible
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
L'histoire vraie d'une famille prise dans l'une des pires catastrophe naturelles de notre époque, le tsunami de Thaïlande de Noël 2004. Au milieu de centaines de milliers de victimes, séparés par la violence de la vague, ils vont tenter de survivre... et de se retrouver.
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Vendu comme un film catastrophe, The Impossible, second film du très talentueux J.A Bayona, s'apparente plutôt à une véritable expérience cinématographique sans précédent. En jonglant avec une habilité rare entre différents genres - film catastrophe donc, mais aussi mélodrame, horreur et fantastique - le cinéaste espagnol poursuit avec brio sa courte filmographie. En se concentrant plus sur l'humain que sur la catastrophe (ce qui ne l'empêche pas d'offrir une séquence terrifiante lors de l'arrivée de la vague meurtrière), Bayona fait le lien avec L'Orphelinat, notamment en insistant sur l'indomptable sens de survie de l'être humain, et en privilégiant la relation mère / enfant des plus touchantes. Un film choc, à la fois terriblement émouvant, effrayant et très impressionnant. 
 
26 décembre 2004. Alors que la population locale et les nombreux touristes profitent des vacances de Noël, un terrible tsunami s'abat sur les terres et détruit tout sur son passage. Le film suit l'histoire vraie d'une famille de cinq personnes (dont la nationalité ne nous est pas révélée), qui aura réussit à se retrouver après des jours d'errance. The Impossible se scinde en deux parties. La première (et meilleure) se concentre sur le personnage de Naomi Watts (absolument renversante), qui après l'arrivée de la déferlante retrouve son fils aîné. La seconde quant à elle met en avant Ewan McGregor(tout aussi incroyable d'intensité), qui avec ses deux autres enfants cherche sans relâche la femme qu'il aime, ainsi que son fils. Il aurait été facile pour le réalisateur d'abuser des violons pour offrir un mélodrame tire-larme. Mais le cinéaste fait confiance à la puissance émotionnelle de son sujet, et grâce à l'aide des véritables protagonistes, le réalisateur signe un scénario d'une justesse inouï, aucune parole ne semblant superflue ou exagérée. Et si la narration reste globalement classique, elle touche au coeur. 
 
On doit également la réussite du film à la mise en scène des plus immersives. La séquence de l'arrivée de la vague et des dégâts qu'elle cause est à couper le souffle. Terrifiante, elle plonge une mère courage et son fils en plein enfer, là où ils ne sortiront pas indemne (Naomi Watts s'en prend plein la figure). Et si le scénario est déjà d'une richesse thématique infinie, le réalisateur se permet, avec l'apparition émouvante de Géraldine Chaplin, d'ajouter une réelle profondeur à son film. Et si The Impossible était un film de fantômes ? Une question qui restera sans réponse, la narration, d'une belle subtilité, n'abordant pas le sujet de manière cartésienne et préférant laisser le spectateur imaginer ce qu'il préfère. Car le second long métrage du jeune réalisateur qu'on peut dorénavant appeler génie est d'une générosité incroyable. En faisant partager cette expérience traumatisante mais définitivement magnifique, le cinéaste met en image l'indomptable volonté de survie de l'être humain, nous faisant comprendre par le seul biais de l'image pourquoi ils veulent survivre, et pour qui. Une oeuvre intense et sublime, qui vous retournera comme jamais.
The Impossible
Tags : catastrophe, Juan Antonio Bayona, Naomi Watts, Ewan McGregor, Géraldine Chaplin
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#Posté le jeudi 22 novembre 2012 06:23

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

Poséidon

Poséidon Poséidon
----------------------------------------------------------------------------Synospsis

Une nuit de Saint Sylvestre festive a commencé au milieu de l'Atlantique Nord, sur le luxueux navire de croisière Poséidon. De nombreux passagers se sont rassemblés dans l'opulente salle de bal pour fêter dignement l'événement avec le capitaine Bradford. Pendant ce temps, le second scrute avec inquiétude l'horizon du haut de la passerelle. La menace surgit en quelques secondes, sous la forme d'une vague géante de plus de 30 mètres de haut, fonçant à toute allure sur le navire. Le second redresse la barre pour éviter un choc frontal, mais il est déjà trop tard. La muraille d'eau se fracasse avec une violence inouïe sur le paquebot qu'elle retourne, quille en l'air. Quelques centaines de rescapés se retrouvent dans la salle de bal, encore intacte quoique située sous la ligne de flottaison...
 
----------------------------------------------------------------------------Critique

Le pire les attend à bord
 
Les vagues déferlantes sont rares, imprévisibles et parfois mortelles. Elles sont surtout la base idéale pour un film catastrophe catalogué comme étant un Titanic-like, mais qui est en réalité une nouvelle relecture de l'Aventure du Poséidon. Alors bienvenue sur le superbe bateau de luxe, et surtout, profitez bien du voyage, il s'annonce terrible. 
 
Le procédé est le suivant : prenez un gros bateau, retournez-le après l'impact avec une grosse vague et faites en sorte qu'une poignet de protagonistes décide de s'enfuir, en passant par le trou des hélices, désormais à la surface. Pour cela, ils vont devoir affronter des peurs primaires, telles que la noyade, la claustrophobie ou encore le vertige. Car ce très cher Poséidon devient une véritable forteresse piégée de l'intérieur une fois retourné. Et le metteur en scène sait comment magnifier chaque partie de son paquebot. Impressionnant, le film l'est, grâce à des effets spéciaux éblouissant de crédibilité. Si le script ne fait toujours pas dans le réalisme (voir quelques actions du héros, interprété par un charismatique Josh Lucas), les effets visuels sont saisissants, et apportent un maximum de piquant à cette histoire prenante. Tel un épisode de Destination Finale revisité, les héros de Poséidon ne sont pas au bout de leurs surprises, et chaque nouvelle épreuve qu'ils subissent risque d'être leurs dernières. Les disparitions, plutôt originales et bien troussées, confirment dès les premiers instants que ces personnages que l'on apprend à connaître (et à apprécier pour la plupart) ne sont pas immortels. Entre sacrifices et crises de panique, les mises à mort seront nombreuses, ponctuées ici et là au sein d'une narration sans accrocs, suffisamment concise pour écarter les longueurs. Le long métrage préfère se concentrer uniquement sur l'action (et nous sommes amplement servis) et délaisse le mélodrame, pourtant de rigueur dans la plupart des productions du genre pour un résultat palpitant. Nous n'avons donc aucunement à faire à un Titanic revisité, mais bel et bien à un film catastrophe plutôt intense, où évoluent des personnages attachants et humains, qui s'entraident pour survivre. 
 
Poséidon aurait pu être un remake fade, condamné au marché vidéo. Mais l'élégance de la mise en scène, la justesse de l'interprétation, la beauté des effets spéciaux et le travail sur l'écriture en fond une adaptation de qualité, impressionnante et intense. Vous y penserez à deux fois avant de monter dans un paquebot de ce standing. 
Poséidon
Tags : catastrophe, Wolfgan Petersen, Jacinda Barrett, Josh Lucas, Kurt Russell, Emmy Rossum
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#Posté le dimanche 22 juillet 2012 11:40

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:47

Sanctum

Sanctum

De Alister Grierson
Avec Richard Roxburgh, Rhys Wakefield, Alice Parkinson...
Tout public

Plongeur expert, Frank McGuire se lance dans l'exploration à haut risque des grottes immergées d'Esa'ala, dans le Pacifique sud. Il emmène avec lui entre autres son fils de dix-sept ans, Josh, et le milliardaire Carl Hurley, qui finance l'expédition. L'équipe s'engage dans le plus vaste, le plus mystérieux et le plus inaccessible des réseaux de grottes du monde. Lorsqu'une tempête tropicale s'abat sur la zone, ils sont obligés de s'enfoncer dans le labyrinthe sous-marin pour lui échapper. Désormais perdus dans un décor incroyable, ils doivent absolument trouver une issue avant qu'il ne soit trop tard. Ce monde inconnu ne leur pardonnera aucune erreur...
 
Tout juste sortie du succès planétaire d'Avatar, James Cameron se tourne vers une petite production qu'il souhaite produire. Réalisé par le novice Alister Grierson, Sanctum a fait parlé de lui pour l'utilisation de la caméra 3D que James Cameron a créé pour les besoins d'Avatar. Gros bide aux Etats-Unis en raison d'une presse peu convaincue, le film vaut mieux que sa triste réputation. Bien que je n'ai pas été convaincu à 100% par Sanctum, j'ai passé un agréable moment en compagnie de ces spéléologues. Le problème du film, c'est qu'il suit un schéma narratif prévisible propre à 90% des films catastrophes. C'est dommage car on devine facilement qui va vivre et qui va finir ses jours dans cette somptueuse grotte. Car si le film marque des points, c'est pour l'utilisation judicieuse de l'espace et ses superbes décors, qu'ils soient naturels ou non. Grierson nous offre peut-être une réalisation impersonnelle, mais elle a le mérite d'être efficace et de magnifier les décors où le film évolue. De plus, le film est appuyé par une 3D superbe (sans doute la plus belle que j'ai vu jusqu'à présent) qui renforce le côté étouffant de certaines scènes. Mais voilà, le scénario ne suit pas et se montre vraiment décevant, que ce soit au niveau de l'évolution des personnages (que du cliché) que de leurs actions. Heureusement, si le tout est prévisible, le film reste efficace est ponctué de mises à mort tellement crédibles qu'elles en deviennent parfois dérangeantes (voir la toute première). C'est donc bien dommage que le scénario n'est pas été plus travaillé et que les personnages qui nous sont présentés soient tous stéréotypés à mort, alors que le film se veut sérieux. Néanmoins, on passe un très bon moment devant Sanctum qui a le mérite de ne pas ennuyer, d'offrir un divertissant tout à fait recommandable, ponctué par des mises à mort terribles et mettant en scène des décors somptueux. Dommage donc que le scénario ne suive pas. 

Sanctum
Tags : catastrophe, thriller
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#Posté le vendredi 15 avril 2011 06:02

Modifié le samedi 10 mai 2014 11:35

Cloverfield

Cloverfield
De Matt Reeves
Avec Michael Stahl-David, Lizzy Caplan, Jessica Lucas...
Tout public (avertissement)

New York - Une quarantaine de ses amis et relations ont organisé chez Rob une fête en l'honneur de son départ pour le Japon. Parmi eux, Hub, vidéaste d'un soir, chargé d'immortaliser l'événement. La "party" bat son plein lorsqu'une violente secousse ébranle soudain l'immeuble. Les invités se précipitent dans la rue où une foule inquiète s'est rassemblée en quelques instants. Une ombre immense se profile dans le ciel, un grondement sourd se fait entendre... et la tête de la Statue de la Liberté s'effondre brutalement sur la chaussée. L'attaque du siècle vient de commencer. Au petit matin, Manhattan ne sera plus qu'un champ de ruines...

Après un énorme buzz médiatique, Cloverfield de Matt Reeves sort enfin en France en février 2008 et permet de nous donner une idée sur ce film de monstre. Nous ne savons rien de plus quand nous nous lançons dans le visionnage, et tant mieux. Nous suivons le point de vue de Hud, chargé d'immortaliser la soirée d'adieu de son meilleur ami partant travailler au Japon. Cependant, une sorte de tremblement de terre dérange la soirée. C'est sur ce postulat que démarre le film. Le début est assez lent, mais dès le tremblement, tout devient vite stressant. Nous suivons quatre amis qui essayent tant bien que mal de sortir de la ville. Ils devront essayer d'avancer le plus vite possible sachant qu'une immense créature a prit Manhattan en otage. La créature qui est restée secrète pendant toute la médiatisation est franchement impressionnante, les effets spéciaux l'accompagnant (c'est-à-dire, des explosions) sont tous crédibles et très efficaces. Le fait que nous voyons ce qu'un des protagonistes voit nous fait rentrer directement dans l'action, nous sommes au premier plan. Ce procédé, utilisé également par [REC] et Diary of the dead est très efficace mais induit également quelques scènes illisibles, dommage. Cependant, le film se rattrape avec des scènes franchement bien foutues (le métro, le final, l'hélicoptère) et fait vite oublier les quelques défauts du film. Les acteurs (qui font souvent figuration dans ce genre de film) sont très crédibles, ils ont du beaucoup improviser et donne des prestation très crédibles et réalistes. Ce méga-buzz donne-t-il un méga-film ? Pas vraiment je vous l'accorde, mais Cloverfield reste un très bon divertissement, stressant et spectaculaire. Un film qui réinvente habilement le film catastrophe. Profitez-en !
 
Cloverfield
Tags : catastrophe, fantastique
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#Posté le dimanche 23 mai 2010 02:30

Modifié le dimanche 13 juillet 2014 14:26

2012

2012
De Roland Emmerich
Avec John Cusack, Amanda Peet, Chiwetel Ejiofor...
Tout public

Les Mayas, l'une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l'ont confirmé, les numérologues l'ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion.

Après l'invasion extra-terrestre et l'ère glacière, Roland Emmerick (Le Jour d'Après) décide cette fois-ci d de détruire notre belle planète, tout simplement. Plus la carrière du cinéaste avance, plus il semble décider à en faire encore plus. A la manière d'un Michael Bay, le réalisateur décide d'impressionner avec 2012. Alors si Le Jours d'Après mettait en avant des effets spéciaux somptueux, ceux de 2012 seront révolutionnaires. Et le bougre n'a pas menti. Oui, les effets spéciaux de 2012 sont d'une éblouissante crédibilité. Oui, le long métrage met en scène tout en un tas de catastrophes naturelles (tsunami, irruption volcanique, séisme) avec une efficacité incroyable. Et oui, le film se montre particulièrement réussi lorsqu'il s'agit de tuer des centaines de millions d'êtres humains. Pourtant, il vous faudra attendre une bonne demi-heure avant que l'action ne commence réellement. Malheureusement pour nous, ces trente premières minutes sont d'un ennui mortel : personnages peu intéressants, gestion du rythme exécrable. Nous sommes-nous trompés de film ? Fort heureusement, Rolan Emmerick nous rappelle que nous sommes bien en présence d'un blockbuster révolutionnaire et nous démontre tout son savoir faire technique durant la séquence du film, une course folle en limousine. Vous avez bien entendu, la meilleure scène du film arrive au bout de 30 minutes. Il nous reste alors deux heures, entre scènes d'exposition clichées sans intérêt et destructions massives plus ou moins réussies. Alors, si vous attendez un vrai blockbuster, 2012 n'est certainement pas pour vous, la faute a un scénario qui sacrifie honteusement ses personnages au profit d'effets spéciaux titanesque. Sauf que sur 2h30, trop d'effets spéciaux tuent les effets spéciaux et la migraine arrive. Mais attendez un peu la morale gerbante durant le final et la phrase désormais culte "je ne porte plus de couche". Au final, 2012 est un film à grand spectacle inégal, qui se montre épatant lorsqu'il s'agit de tuer des personnes, mais risibles quand il faut les faire parler. Je préfère aller revoir Le Jour d'Après moi.

2012
Tags : blockbuster, catastrophe
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#Posté le vendredi 13 novembre 2009 10:10

Modifié le vendredi 21 novembre 2014 13:50

Poséidon

Poséidon
De Wolfgang Petersen
Avec Josh Lucas, Kurt Russell, Jacinda Barrett...
Tout public

Une nuit de Saint Sylvestre festive a commencé au milieu de l'Atlantique Nord, sur le luxueux navire de croisière Poséidon. De nombreux passagers se sont rassemblés dans l'opulente salle de bal pour fêter dignement l'événement avec le capitaine Bradford. Pendant ce temps, le second scrute avec inquiétude l'horizon du haut de la passerelle. La menace surgit en quelques secondes, sous la forme d'une vague géante de plus de 30 mètres de haut, fonçant à toute allure sur le navire. Le second redresse la barre pour éviter un choc frontal, mais il est déjà trop tard. La muraille d'eau se fracasse avec une violence inouïe sur le paquebot qu'elle retourne, quille en l'air. Quelques centaines de rescapés se retrouvent dans la salle de bal, encore intacte quoique située sous la ligne de flottaison...

Même si un remake ne s'imposait pas (l'original est excellent et supporte très bien le poids des années), il faut avouer que l'annonce d'un remake n'était pas pour me déplaire, cette histoire étant particulièrement originale et inventive. Et le remake est largement à la hauteur de l'attente, Poséidon est un film catastrophe particulièrement prenant, qui se montre respectueux vis-à-vis de l'original tout en prenant quelques libertés scénaristiques bienvenues. Ainsi, le spectacle se déroulant sous nos yeux est efficace, les effets spéciaux sont d'une beauté éblouissante et les acteurs parfaitement crédibles. Cependant, Poséidon ne se limite pas à une succession de scènes catastrophes (particulièrement réussies cela dit) mais met en scène des personnages à la psychologie bien développée, même si légèrement cliché. On souhaite en effet que chaque protagoniste survive à l'aventure, même si on sait que c'est impossible. Par conséquent, les morts sont plus percutantes, d'autant plus qu'elles sont d'un réalisme bluffant (une scène de noyade est brillamment mise en scène). Je suis donc content que les producteurs aient décidé de remettre à l'ordre du jour cette excellente histoire. Le remake reste parfaitement fidèle à l'original et le réalisateur fait preuve d'un véritable savoir faire technique, notamment lorsqu'il s'agit de l'utilisation des effets spéciaux (la scène où la déferlante frappe le paquebot est d'une beauté saisissante!). On passe donc un agréable moment, et on en redemande. 
 
Poséidon
Tags : blockbuster, catastrophe
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#Posté le lundi 06 juillet 2009 03:48

Modifié le vendredi 21 novembre 2014 13:48

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