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ACTEURS PRÉFÉRÉS

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106 articles taggés fantastique

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The Faculty

The Faculty The Faculty
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Herrington High est une école comme les autres. Ses murs sont devenus peu à peu crasseux, ses manuels scolaires périmés, ses professeurs paraissent usés bien avant la retraite, ses élèves, cerveaux et crétins, sérieux ou cancres notoires, affrontent des parents qui ne les comprennent plus et des professeurs qui ne les ont jamais compris. Mais les adolescents de Herrington High se heurtent à un problème inédit. Un de leurs professeurs est tellement bizarre et inquiétant qu'ils le soupçonnent d'appartenir à une autre espèce, de venir d'une autre planète...
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Avant de réaliser Spy Kid et son célèbre Planète Terreur, Robert Rodriguez s'est essayé au teen-movie, avec The Faculty, grâce lequel il respecte pleinement son statut de réalisateur post-moderne. En reprenant des formes pré-existantes de manière intelligente (ici, le film de science-fiction), le cinéaste mise sur le plaisir intellectuel de la reconnaissance. Et quel plaisir ! A la fois jubilatoire, plutôt stressant et même imprévisible malgré des références aussi assumées qu'appuyées, Rodriguez livre un film réjouissant, à voir et revoir.
 
Un groupe de lycéens d'un lycée de l'Ohio est persuadé d'être la cible d'une forme extra-terrestre lorsque leurs camarades et leurs professeurs agissent étrangement. Sous les yeux de deux d'entre eux, l'infirmière du lycée est agressée et transformée par deux collègues. Il leur faudra se battre pour venir à bout de ce mal qui se répand rapidement. The Faculty ne le cache pas, sa référence majeure est sans conteste L'invasion des profanateurs de sépultures. En plus d'être explicitement cité par les protagonistes (qui s'inspirent du film pour venir à bout des antagonistes) le réalisateur en reprend l'idée de base, à savoir la contamination du mal par l'intérieur. Une contamination qui se fait via un organisme non identifié, permettant au long métrage de mettre en scène des séquences bien gratinées, malgré des effets visuels qui ont tendance à mal vieillir. Mais plus que le film de Don Siegel, The Faculty puise ses idées dans les grands classiques de la science-fiction, tel The Thing, pour une scène aussi stressante que dérangeante, dans laquelle la paranoïa règne en maître. Et s'il s'agit bien d'un teen-movie, cela n'en fait pas pour autant un vulgaire film pour adolescents. Non, The Faculty a été fait avec amour, et ça se sent.
 
Jouant habilement sur les clichés les plus classiques du cinéma de genre (la bad boy est en fait un petit génie, le soit-disant geek n'est en réalité pas vraiment une lumière, le capitaine de l'équipe de foot veut prouver qu'il a un cerveau...) le réalisateur amuse son public, et notamment les cinéphiles, qui s'amusent à déceler les clins d'oeil au cinéma, situés ici et là dans une narration sans accroc, qui n'hésite pas à tourner en ridicule certaines séquences (voir le sort réservé au personnage de Famke Janssen après l'accident de voiture). Le final, qui nous plonge littéralement dans le film de monstres, ne se montrent guère surprenant, mais a au moins le mérite de conclure le film honorablement, sans sombrer dans le grand-guignol involontaire. Ce cinéma-là n'a donc aucune limite : le plaisir ludique est bien là, mais le film ne compte pas uniquement sur le second degré (il peut plaire autant aux cinéphiles qu'aux autres). Pas creux et plutôt intelligent, un vrai bon film. 

The Faculty
Tags : fantastique, Robert Rodriguez, Josh Harnett, Jordana Brewster, Famke Janssen
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#Posté le mercredi 12 décembre 2012 12:15

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

The Apparition

The Apparition The Apparition
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Des étudiants mènent une expérience scientifique tendant à prouver que les manifestations paranormales sont l'½uvre de l'esprit humain. Leur théorie va être confirmée quand ils créent d'eux-mêmes un esprit particulièrement violent, qui va dès lors terroriser un jeune couple.
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Paranormal Activity continue de faire des petits. Outre les trois suites qui ont suivi et qui ont toutes plus ou moins connues un énorme succès, nombre films tentent leur chance, reprenant les thèmes et la manière de les aborder d'Oren Peli. C'est le cas de The Apparition, détruit par une critique américaine n'y voyant qu'un pétard mouillé sans intérêt, entre références mal digérés et rythme inégal. Et pourtant, le résultat est tout autre. Loin d'être un grand film, The Apparition ne vaut néanmoins pas ce déluge de reproches. Plutôt soigné, il souffre certes d'un script faiblard, mais ne manque aucunement de rythme. 



Une introduction plutôt ratée reprend les codes du found footage, présentant une série de protagonistes dont le destin ne nous est pas révélé. Nous découvrons par la suite les deux personnages principaux, attachants, et bien interprétés par deux acteurs convaincants (Ashley Greene et Sebastian Stan). Alors qu'ils viennent tout juste d'aménager dans une grande demeure, les portes s'ouvrent toutes seules, le chien du voisin trouve la mort sans raison, et des couches de moisi envahissent peu à peu la demeure. Et si la maison était hantée ? Et si le copain parfait Kelly cachait quelque chose ? Autant de réponses qui trouveront réponses au fur et à mesure que la narration progresse. Alors certes, absolument rien de novateur ne vient surprendre le spectateur blasé. Non, la plupart des clichés sur les films de maisons / personnes hantées sont bien présents, mais pourtant, on se laisse facilement guider, sans s'ennuyer, malgré le manque de surprise et de rebondissement. Tout ça, grâce à la belle mise en scène de Todd Lincoln. 
 
 
Le metteur en scène n'a peut-être pas entre ses mains un scénario des plus originaux, mais il le magnifie, à l'aide d'une mise en scène qui multiplie les trouvailles visuelles. Entre une glaçante conclusion et quelques apparitions très bien troussée, le film trouve son rythme. Il est donc assez étonnant de voir à quel point ce pauvre petit long s'est fait assassiner par une critique qui se la joue trop exigeante, en oubliant même de voir les belles qualités visuelles dont dispose le film, ainsi que l'inventivité de sa mise en scène. Ne croyez néanmoins pas que The Apparition est un grand film, car outre son scénario très décevant, la distribution est inégale (seul le couple vedette s'en sort) et certaines séquences brillent par leur absurdité (l'introduction donc). Néanmoins, si vous n'êtes pas trop exigeant, vous avez toutes les chances de passer un moment tout à fait agréable, en vous concentrant sur les qualités du film et sur le capital sympathie des deux protagonistes. 

The Apparition
Tags : fantastique, Todd Lincoln, Ashley Greene, Sebastian Stan
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#Posté le vendredi 07 décembre 2012 06:11

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

Twilight Chapitre 5 - Révélations (Partie 2)

 Twilight Chapitre 5 - Révélations (Partie 2) Twilight Chapitre 5 - Révélations (Partie 2)
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s'adapte peu à peu à sa nouvelle vie de vampire avec le soutien d'Edward. Se sentant menacés par cette naissance d'un nouveau genre, les Volturi déclarent la guerre à la famille Cullen. Pour préparer leur défense, les Cullen vont parcourir le monde pour rassembler les familles de vampires alliées et tenter de repousser les Volturi lors d'un ultime affrontement.
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Novembre 2012. Toutes les jeunes filles pré-pubères pleurent la fin d'une saga mythique, qui aura vu s'affronter gentiment un vampire mystérieux et un loup garou musclé pour les beaux yeux d'une belle humaine. Twilight chapitre 5 - Révélation marque la fin d'une franchise lucrative, qui aura révélé au grand public une pléiade de jeunes talents. Sans aucun doute le chapitre le plus accessible pour les non initiés, cet ultime opus s'impose comme un divertissement sympathique. La confrontation finale, plus violente qu'attendue, réjouira les fans, qui salueront (ou pas) les judicieuses écarts vis-à-vis du roman d'origine. Nous ne sommes toujours pas en présence d'un chef-d'oeuvre du Septième Art, mais est-ce un mal ? 
 
Cette deuxième partie du quatrième chapitre débute là où le dernier s'achevait. Après un sublime générique, nous découvrons une Bella métamorphosait en vampire, et accessoirement en bombe sexuelle. Car la tension sexuelle n'aura jamais été autant développé. Bella aime sa nouvelle vie, aime son mari, et le fait savoir dès qu'elle le peut. Après le final comico-bizarroïde du quatrième opus, ce chapitre poursuit des idées plutôt couillues pour une saga de cette importance : pédophilie, homosexualité et nymphomanie sont au rendez-vous, pour un résultat aussi déstabilisant que réjouissant. Ne vous attendez pas cependant à des scènes de sexe torride, les cadrages étant judicieusement choisis pour ne pas choquer les petites filles. Les premières minutes ne dépayseront cependant personne : nous sommes bien dans un Twilight, avec tout ce qu'il y a de bons sentiments, les valeurs mormones en moins (et ça, c'est une bonne chose). Nous retrouvons avec plaisir les superbes décors, toujours au rendez-vous, ainsi que la belle photographie qui ne cesse de magnifier les personnages. 
 
Et cette fameuse confrontation donc, sur laquelle mise beaucoup la promotion ? Avouons-le, elle est plutôt efficace. Plus violente que prévu, elle enchaîne les décapitations en tout genre et les combats corps-à-corps. Elle se conclut sur une surprise finale inattendue, mais un brin frustrante. Réveillez-les morts n'est surement pas la meilleure idée qui soit, mais cela permet au moins à la saga de se terminer sur de bien belles images, qui assurent pour l'occasion un retour à source. La boucle est ainsi bouclée. Quant aux acteurs, si on se demande toujours pourquoi Taylor Lautner est ici (son personnage n'est d'aucune utilité), Kristen Stewart et Robert Pattison forme quant à eux un bien beau couple. L'évolution du personnage de Bella donne la possibilité à Stewart d'évoluer son jeu, qui commençait à tourner en rond à force d'incarner un personnage qui n'évoluait pas. Ici, elle dégage une animalité envoûtante. A la fois bête de sexe et guerrière imbattable, elle fait des merveilles. De quoi pardonner au film les défauts habituels à la saga : des effets spéciaux parfois limites (compte tenu du budget, c'est une honte), des bons sentiments en veux-tu en voilà, et un manque flagrant d'identité (ce chapitre lorgne du côté de X-men). Mais le tout reste suffisamment bien emballé pour convaincre. 
Twilight Chapitre 5 - Révélations (Partie 2)
Tags : fantastique, Bill Condon, Kristen Stewart, Robert Pattison, Ashley Greene
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#Posté le dimanche 18 novembre 2012 09:31

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

Abraham Lincoln - Chasseur de vampires

Abraham Lincoln - Chasseur de vampires Abraham Lincoln - Chasseur de vampires
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Lorsqu'Abraham Lincoln découvre que des vampires assoiffés de sang se préparent à envahir le pays, il jure de les éliminer les uns après les autres, à coups de hache. C'est alors que se révèle un chasseur hors pair, menant une guerre secrète sans précédent, avant même de devenir l'illustre figure de la guerre de Sécession.
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Il est désormais difficile de trouver des projets en tant soit peu originaux, qui sortent des sentiers battus. A première vue, Abraham Lincoln - Chasseur de vampires a tout du film casse-gueule, au pitch ridicule. Et malheureusement, les craintes sont fondées. Si le long métrage aurait pu être original, il n'est finalement que risible, et suit un schéma narratif des plus classiques. Alors malgré une mise en scène stylisée et quelques séquences d'action jouissives, on ne retient pas grand chose du film.
 
Alors comme ça le célèbre président Abraham Lincoln aurait chassé des vampires en plus d'avoir été un des hommes politiques les plus importants de l'Histoire ? En effet, le monsieur aurait vu sa mère mourir alors qu'il n'était qu'un enfant, tuée par un fameux monstre de la nuit. S'en suit alors une furieuse chasse aux vampires, conjuguée à sa volonté d'abolir l'esclavage. Tout compte fait, la narration marie habilement les deux vies du président américain. La surprise de découvrir une telle figure affublée d'une hache à de quoi réjouir. Pendant un temps seulement. Car rapidement, le film lasse, la faute à un scénario feignant, qui confond ambition avec ridicule. Les vampires sont malheureusement bien mal insérés dans la vie politique connue du président, et le rythme en dent de scie n'arrive jamais à sortie le spectateur du profond sommeil qui s'empare de lui.
 
Pourtant, le film ne manque pas de qualité, à commencer par une mise scène stylisée, qui enchaîne les ralentis et les effets de style. Visuellement, Abraham Lincoln - Chasseur de vampires a de sérieux atouts, à commencer par des effets spéciaux de qualité, mettant en avant des suceurs de sang plutôt effrayants. Benjamin Walker (alias le sosie officieux de Liam Neeson) s'en sort avec les honneurs, incarnant un Lincoln plutôt charismatique, et bien habile de ses mains (il manie la hache à merveille le bougre). Certaines séquences sont d'ailleurs furieusement efficaces, notamment ce climax final des plus palpitants. Mais le tout reste malheureusement bien trop superficiel, autant dans la caractérisation de ses personnages dont les évolutions psychologiques sont terriblement prévisibles, que dans le scénario, tristement classique. Abraham Lincoln - Chasseur de vampires ne parvient jamais à faire oublier la stupidité de son postulat, qui aurait pu donner un long métrage original. Aurait. 
Abraham Lincoln - Chasseur de vampires
Tags : fantastique, Timur Bekmambetov, Benjamin Walker, Dominic Cooper, Mary Elizabeth Winstead
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#Posté le lundi 05 novembre 2012 09:51

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

Resident Evil - Retribution (3D)

Resident Evil - Retribution (3D) Resident Evil - Retribution (3D)
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Le virus créé par Umbrella Corporation continue à faire des ravages partout sur Terre, transformant la population mondiale en légions de morts-vivants affamés de chair humaine. Alice, l'ultime espoir de l'humanité, s'éveille au c½ur du plus secret des complexes industriels d'Umbrella. Avec l'aide d'une section commando d'élite, elle parvient de justesse à s'échapper. De Tokyo à New York, de Moscou à Washington, Alice va découvrir des révélations plus explosives les unes que les autres qui vont la pousser à remettre en cause toutes ses certitudes. Épaulée par de nouveaux alliés et de vieux amis, elle va trouver une nouvelle raison de se battre pour survivre...
 
----------------------------------------------------------------------------Critique

 
Après un Afterlife des plus décevants, le nouvel opus de la lucrative saga inspirée du jeu vidéo arrive dans les salles de cinéma. Véritable plaisir coupable, ce dernier chapitre offre son lot d'action et explosions en tout genre, pour un résultat jouissif et très efficace, décérébré et jubilatoire. Alors tant pis si le scénario enchaîne les répliques niaises, les facilités et les fautes de goût, le divertissement est là, et il est total !
 
Retribution sera concentré sur l'action ! Débutant là où Afterlife se terminait, le film nous présente une fulgurante et visuellement accrocheuse séquence explosive, servant de générique. Par la suite, le film poursuit sa route comme d'habitude, avec une Alice de nouveau plongée au pays des horreurs. De nouveaux personnages issus de la franchise sont emmenés avec plus ou moins de subtilité dans le récit, et le plaisir de retrouver certains protagonistes se fait sentir. Ce nouvel opus est basé sur une histoire sympathique et globalement bien construire, dont les thèmes le font se rapprocher d'un certain Sucker Punch de Snyder, notamment cette histoire de rêves imbriqués et de multiples personnalités, apportant une saveur toute nouvelle aux personnages. Paul W.S Anderson semble s'amuser comme un fou avec sa caméra 3D, et il utilise au maximum les possibilités qu'offre de gadget, magnifiant ses images et jouant habilement avec la profondeur de champs. Le tout est ludique, et visuellement superbe, à l'image de ces plans sous-marin, d'une beauté saisissante.

Mais parlons un peu de ce qui fâche, le scénario. Cet aspect n'a jamais été le point fort de la franchise, qui a l'habitude de sacrifier la psychologie des nouveaux personnages à coup de facilités, répliques niaises et fautes de goût. Ce nouvel opus ne change pas, et c'est clairement le scénario qui déçoit. Mais si le script est des plus régressif, il a le mérite - et certains blockbuster devraient clairement s'inspirer du film sur cela - de ne jamais ennuyer, l'action s'enchaînant non stop. Et les séquences d'action sont explosives et jouissives au possible. Le style du réalisateur est toujours aussi identifiable, avec ces ralentis en pagaille, mais pour le coup, c'est carrément jubilatoire. On sort de la séance à la fois content et divertie. Mais n'oubliez pas de récupérer votre cerveau en rentrant chez vous, il n'a absolument aucune utilité une fois que vous serez assis dans la salle, prêts à en prendre plein les yeux et les oreilles.
Resident Evil - Retribution (3D)
Tags : fantastique, Paul W.S Anderson, Milla Jovovich, Michelle Rodrigez
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#Posté le vendredi 28 septembre 2012 05:58

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:46

Les Autres

Les Autres Les Autres
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
En 1945, la Seconde Guerre mondiale est terminée mais le mari de Grace, parti combattre, n'est pas revenu du front. Dans une immense demeure victorienne isolée sur l'île de Jersey, cette jeune femme pieuse élève seule ses deux enfants, Anne et Nicholas, selon les principes stricts de sa religion. Atteints d'un mal étrange, ces derniers ne peuvent être exposés à la lumière du jour. Ils vivent donc reclus dans ce manoir qui doit constamment rester dans l'obscurité. Lorsque trois nouveaux domestiques viennent habiter avec Grace et ses enfants, ils doivent se plier à une règle vitale : aucune porte ne doit être ouverte avant que la précédente n'ait été fermée. Pourtant, quelqu'un va désobéir à cet ordre. Dès lors, Grace, ses enfants et tous ceux qui les entourent devront en subir les conséquences.
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Balayant en un coup de manivelle la plupart des productions horrifiques, Les Autres cache derrière un certain classicisme un film de maison hantée, transcendé par la beauté de la mise en scène et l'intelligence du scénario. Nicole Kidman, au sommet de son talent, incarne avec fragilité une femme perdue dans un environnement qu'elle ne reconnait plus. Ne vous fiez pas à la lenteur du film, tout sauf innocente, tant la première excursion américaine du jeune prodige espagnol est une réussite, plastique et narrative. Désormais dans le cinéma de genre - et le cinéma tout court, il y aura Les Autres, et les autres. 
 
Malgré des références appuyés, le scénario d'Alejandro Amenabar (qui signe également la glaçante musique) dégage un charisme et une profondeur rare. Difficile de ne pas penser au cinéma du célèbre Hitchcok, que ce soit dans le visuel de l'image, ou dans la psychologie et le physique de l'héroïne. Nicole Kidman incarne avec le talent et la subtilité qu'on lui connait Grace, une jeune mère de famille (référence à Grace Kelly, une des muses du cinéaste ? Surement). Hitchock aurait surement adoré réaliser ce scénario, mais ne parlons pas à la place du feu réalisateur, et voyons plutôt de plus près ce long métrage, qui a depuis sa sortie une excellente réputation qui le précède. Une réputation méritée, tant le qualificatif chef-d'oeuvre apparaîtrait presque comme un euphémisme. Derrière une trame classique, Alejandro Amenabar développe une histoire touchante, aux thèmes développés avec un certain brio. L'idée de la mort y tient une place prépondérante, tout comme celle de la religion. Des thèmes philosophiques tels que l'au-delà sont dépeints avec justesse, et s'ancre à merveille dans la narration, lente, mais non dénuée de surprises, loin de là.
 
En retournant le code le plus élémentaire du film de genre, Les Autres bouscule le spectateur. Ici, le noir n'est plus source de terreur, Amenabar en ayant fait l'allié des deux enfants, tout deux photosensibles. C'est la lumière que les protagonistes cherchent à chasser à tout prix. Et quand celle-ci s'immisce dans le quotidien, c'est pour une séquence terrifiante, dans un débarras, où le réalisateur ironise même sur le 'look' donné aux fantômes dans l'inconscient collectif (draps blancs). Et son brillant scénario, Alejandro Amenabar le met en scène avec une virtuosité de tous les instants. Il magnifie la grande demeure où évolue la narration, tout comme les jardins l'environnant. C'est toute la beauté de l'horreur qui nous voyons sur grand écran pour un plaisir qu'on peut difficilement cacher. Ce lyrisme morbide, on le retrouvera dans des dizaines de films suivants, dont la plupart ne cache pas leur glorieuse référence (L'orphelinat notamment). Car Les Autres aura marqué le cinéma, et oublions un instant les quelques similitudes qu'il y a entre ce film et Sixième Sens, tant le développement est diamétralement opposé. Les Autres est un film unique et touchant, une goutte de pluie dans un désert aride. 
Les Autres
Tags : fantastique, Alejandro Amenàbar, Nicole Kidman
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#Posté le mercredi 17 décembre 2008 02:51

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:47

Blanche Neige

Blanche Neige Blanche Neige  
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Lorsque son père, le Roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l'évince pour s'emparer du trône. Quand la jeune femme attire malgré tout l'attention d'un Prince aussi puissant que séduisant, l'horrible marâtre ne lui laisse aucune chance et la bannit. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt...  Recueillie par une bande de nains hors-la-loi au grand c½ur, Blanche Neige va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante Reine. Avec l'aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l'action pour reconquérir sa place et le c½ur du Prince...
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Il était une fois
 
Miroir, miroir. Disney a connu un carton colossal avec son très célèbre dessin animé, basé sur le conte homonyme des Frères Grimm. Aujourd'hui, hollywood propose une relecture, où Blanche Neige ne serait plus qu'une jeune princesse en détresse, où la reine serait aussi méchante que marrante et où le prince charmant serait aussi séduisant qu'un brin benêt. 
 
Ainsi, tout débute comme le conte initial. A l'aide d'une introduction inventive et visuellement très réussie, le film reprend les bases de l'histoire originale : un roi bon et aimé du peuple disparaît en pleine forêt. Sa femme, la terrible reine, prend donc le pouvoir, écrasant alors sa belle fille, la douce Blanche Neige. Alors que son pouvoir est en péril (sa belle fille est la seule héritière du trôle), la reine décide d'en finir avec la belle. Mais tout ne se passera pas comme prévu. Retrouver Tarsem Ringh derrière cette adaptation a de quoi surprendre. Après le brutal et stylisé Les immortels, le metteur en scène change de registre avec ce conte pour enfant, mais ne lésine pas ce qui a fait son succès, à savoir un esthétique soigné. Et en effet, visuellement parlant, le long métrage est une réussite. Outre la superbe introduction, certaines scènes sont d'une beauté visuelle sans nom, qui s'accorde parfois avec un souffle épique insoupçonné. On retiendra notamment une attaque de pantins particulièrement inventives et prenante. La traversée du miroir de la machiavélique reine vaut également son pesant d'or. Originale et séduisante, cette scène est une belle réussite. Malheureusement, ce visuel soigné ne peut rien faire au kitch qui inonde trop souvent l'écran. Les costumes, d'une laideur assez incroyable, participent notamment à cette surenchère visuelle parfois dérangeante, que l'on retrouve également dans certains décors. Ringh a également oublié que, plus important qu'un visuel hyper travaillé, le rythme d'un récit est primordial. On ne compte donc pas les longueurs qui ponctuent et parasitent l'évolution de la narration. Heureusement pour le cinéaste, il peut compter sur un casting quatre étoiles. Julia Roberts interprète une reine plutôt marrante, dont les répliques percutantes font souvent mouche. On pourrait parler de cabotinage (à raison), mais c'est tellement jubilatoire qu'on ne va pas s'en plaindre. Quant à Lily Collins, elle est l'incarnation parfaite de l'idée que l'on se fait de Blanche Neige. Douce, pure et magnifique, elle fait presque oublier les carences narratives. On aurait aimé en dire autant du talentueux Armie Hammer. Mais l'acteur passe son temps à faire le chien, et lorsqu'il n'a pas l'esprit d'un toutou, il interprète un prince qui ne fait jamais le poids face à ses acolytes féminines. On reste également perplexe face à ce final, en forme de comédie musicale bollywoodienne qui ne correspond pas très bien à l'idée que l'on se faisait du film. Un changement de cap final qui laisse dubitatif.
 
Blanche Neige est un film inégal mais attachant. Si Julia Roberts et Lily Collins sont toutes deux crédibles, elles ne peuvent pas grand chose face aux problèmes de rythme et les facilités narratives servant à faire avancer le récit. Reste un visuel séduisant, qui lorsqu'il ne vire pas dans le kitch (assumé ou non), caresse la pupille. 

Blanche Neige
Tags : comédie, fantastique, Julia Roberts, Lily Collins, Armie Hammer
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#Posté le mardi 29 mai 2012 12:45

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:48

The Box

The Box The Box
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
Norma et son époux mènent une vie paisible dans une petite ville des Etats-Unis jusqu'au jour où une mystérieuse boîte est déposée devant leur domicile. Quelques jours plus tard, se présente l'énigmatique Mr. Arlington qui leur révèle qu'en appuyant sur le bouton rouge de la boîte, ils recevraient 1,000,000$, mais cela entraînerait la mort d'un inconnu...
 
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
1 boîte. Un million de dollars. Le sort de l'humanité.
 
The Box de Richard Kelly est un film complexe, qui se pose les bonnes questions avec une certaine intelligence. Oubliez la bande annonce ou les synopsis officiels qui ne racontent que les vingt premières minutes, et jetez-vous tête baissée dans un film fantastique aussi dérangeant qu'intelligent.
 
Histoire de plagier les synopsis officiels, l'histoire de The Box est la suivante : un couple qui peinent à joindre les deux bouts reçoit de la part d'un inconnu atrocement défiguré une boîte. S'ils appuient sur le bouton, ils reçoivent 1 millions de dollars, mais quelqu'un qu'ils ne connaissent pas, mourra. S'ils ne font rien, l'homme reprendra la boîte et disparaîtra. Un début d'intrigue qui subit par la suite un développement troublant car franchement inattendu, dans lequel Kelly se pose des questions existentielles sur le monde, sa création. Ainsi, l'histoire de The Box passe d'un postulat carrément original à un développement complexe et intelligent, où des questions philosophiques existentielles (la création de l'univers, la présence d'un être supérieur...) affrontent les croyances religieuses (la référence à Adam et Eve est évidente). On se retrouve dans un tourbillon où chaque scène appuie la précédente, où chaque élément a son importance. Tout cela nous conduit au terrifiant final, d'une émotion terrible mais d'une logique implacable. The Box va vous retourner l'estomac, et l'envie de le revoir vous prendra bien vite. Et la réussite du film ne dépend pas uniquement du brillant scénario, mais également de la mise en scène élégante de Richard Kelly (son film est une réussite plastique) et les performances habités des deux acteurs principaux, brillants. 
 
The Box est une oeuvre élégante, originale et complexe. Richard Kelly offre un long métrage visuellement soigné dont la superbe photographie et l'utilisation judicieuse des effets spéciaux appuient un scénario touchant et troublant dans lequel Cameron Diaz et James Mardsen se livrent corps et âme. Un grand film.

The Box
Tags : fantastique, Cameron Diaz, James Marsden
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#Posté le mardi 22 mai 2012 05:58

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:48

King Kong (2005)

King Kong (2005) King Kong (2005)
 
----------------------------------------------------------------------------Synospsis
 
New York, 1933. Ann Darrow est une artiste de music-hall dont la carrière a été brisée net par la Dépression. Se retrouvant sans emploi ni ressources, la jeune femme rencontre l'audacieux explorateur-réalisateur Carl Denham et se laisse entraîner par lui dans la plus périlleuse des aventures... Ce dernier a dérobé à ses producteurs le négatif de son film inachevé. Il n'a que quelques heures pour trouver une nouvelle star et l'embarquer pour Singapour avec son scénariste, Jack Driscoll, et une équipe réduite. Objectif avoué : achever sous ces cieux lointains son génial film d'action. Mais Denham nourrit en secret une autre ambition, bien plus folle : être le premier homme à explorer la mystérieuse Skull Island et à en ramener des images. Sur cette île de légende, Denham sait que "quelque chose" l'attend, qui changera à jamais le cours de sa vie...
----------------------------------------------------------------------------Critique
 
Et la belle tua la bête

Devenu mondialement célèbre avec son adaptation sur grand écran du Seigneur des anneaux de Tolkien, le réalisateur Peter Jackson a le champs libre pour réaliser ce qu'il souhaite, quel que soit le budget. Il se tourne alors sur une nouvelle adaptation sous la forme d'un remake de King Kong de  Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack. Pour mettre en scène son nouveau bébé, les producteurs lui offrent l'incroyable somme de 207 millions de dollars. 
 
Artisanal, le premier King Kong est devenu un classique du cinéma. Peter Jackson décide de mettre à profit toutes les technologies actuelles pour rendre vivante la grande créature, et il le fait bien. Grâce à la motion capture, qu'il avait déjà utilisée pour le personnage de Gollum, le réalisateur créé de toutes pièces un Kong épatant de réalisme, plus proche du gorille que la version originale. Et si le cinéaste enchaîne les scènes d'action virtuoses avec une efficacité rare (un combat titanesque entre Kong et deux tyrannosaures, une course poursuite trépidante entre des hommes et des dinosaures, une confrontation terrifiante entre des survivants et des insectes répugnants...), Peter Jackson conserve la portée émotionnelle de son modèle, tout en l'amplifiant considérablement. Le final, déchirant, prouve que les effets spéciaux les plus performants peuvent autant émouvoir que le meilleur acteur. Et les acteurs ici sont tous incroyables. Naomi Watts (dont c'est le premier blockbuster) interprète une Ann Darrow tout en grâce et finesse. L'actrice est tout aussi convaincante dans les scènes d'action que dans les scènes lui demandant une présence émotionnelle conséquente. A ses côtés, Adrian Brody, charismatique, apparaît crédible, tout comme Jack Black, en réalisateur opportuniste. Peter Jackson filme ses personnages avec amour, et développe les relations et la psychologie de chacun des protagonistes avec talent. Son scénario aurait pu être inutilement long (3h07 de film tout de même), il n'en est rien. Passionnante du début à la fin, la narration de King Kong est un modèle d'efficacité. Quant à la reconstitution du New York des années 30, elle est magistrale. La dernière partie au coeur de la ville dégage une telle force épique et une telle émotion qu'il est difficile de ne pas succomber au charme du couple atypique que forme Ann et la bête. 
 
La belle et la bête revue par Peter Jackson, qui offre pour l'occasion un remake soigné. Fidèle à son modèle, cette relecture se permet de développer une histoire passionnante, à l'aide d'effets spéciaux remarquables. Mais l'émotion est toujours là, et le final apocalyptique est d'une poésie infinie. Un grand film.
 
King Kong (2005)
Tags : fantastique, Action/Aventure, Peter Jackson, Naomi Watts, Jack Black, Adrian Brody
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#Posté le vendredi 11 mai 2012 05:34

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:48

La cabane dans les bois

 La cabane dans les bois La cabane dans les bois
----------------------------------------------------------------------------Synospsis

Cinq amis partent passer le week-end dans une cabane perdue au fond des bois. Ils n'ont aucune idée du cauchemar qui les y attend, ni de ce que cache vraiment la cabane dans les bois...
----------------------------------------------------------------------------Critique

Vous croyez connaître l'histoire. Vous pensez déjà connaître la fin.
 
Le buzz grandit depuis quelques mois. Après les soucis financiers de la MGM, La cabane dans les bois peut enfin sortir au cinéma (le film fut en boîte en 2009) et après une campagne promotionnelle savamment orchestrée, le long métrage peut délivrer tous ses secrets, et croyez-moi, il en a un paquet!
 
Derrière le titre faussement classique se cache une véritable lettre d'amour aux films d'horreur, à la fois sadique, novatrice et imprévisible. Car si tout commençait comme un "vulgaire" survival/slasher lambda, les évènements prennent vite une tournure inattendue que je ne révélerais pas ici. Après 10 minutes d'exposition où les clichés les plus éculés sont balancés, le long métrage trouve un rythme de croisière intense, entre humour noir bien dosé et scènes sanglantes jouissives, pour ne pas dire orgasmiques durant la dernière partie du film, une véritable orgie visuelle. Voir le film vierge de toute information est la meilleure solution pour profiter au maximum des nombreux revirements narratifs, il est donc conseillé d'éviter les bandes annonces, qui en montrent bien trop pour être innocentes. Car si vous découvrez le film sans aucun a priori, le plaisir est total. On aime se faire balader dans tous les sens par La cabane dans les bois, qui réunis des films aussi opposés que Devil Dead et The Truman Show (ce n'est pas un hasard si un personnage s'appelle Truman). On aime se faire piéger et voir enfin un film d'horreur pour qui classicisme rime avec passé. L'horreur, la vraie, elle se trouve dans cette cabane, présentée sous forme de Rubik's Cube sur l'affiche. Et vous pouvez vous préparer au pire et à l'inattendu. Car cette ambition débordante fait vite oublier les quelques défauts, qu'ils soient techniques (une mise en scène un peu plate) ou narratifs (quelques invraisemblances sont à signaler). En l'état, La cabane dans les bois n'a pas grand chose à voir avec Scream (si ce n'est la volonté de décortiquer le film d'horreur en utilisant à bon escient les clichés), puisqu'au contrairement au film de Wes Craven, il n'analyse pas le genre dans lequel il est ancré (aucune référence cinéphilique à l'horizon dans les dialogues). Il se concentre plus sur une étude de la violence au cinéma, notamment grâce aux géniaux Richard Jenkis et Bradley Whitford qui forment un duo irrésistible. On ressort finalement secoué par une telle expérience, qui si elle ne fait pas réellement peur (on rigole plus qu'on frissonne) se vit comme une montagne russe déchaînée. On aura rarement autant pris son pied devant un film d'horreur ! 
 
L'accroche de l'affiche pouvait sembler prétentieuse, elle n'est pourtant que pure vérité ! La cabane dans les bois virent les clichés du cahier des charges et retournent dans tous les sens chaque passage obligé pour mieux surprendre le spectateur, à coups de répliques cultes et attaques sanglantes jouissives. On manque presque d'yeux pour admirer l'orgie finale, aussi réjouissante que tétanisante ! Un film qui a sans aucun doute l'étoffe d'un classique.
 
La cabane dans les bois
Tags : fantastique, slasher, Chris Hemsworth
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#Posté le lundi 07 mai 2012 13:33

Modifié le dimanche 02 février 2014 08:49

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